Cette nuit et comme chaque nuit, Julie est seule face à son insomnie. Elle va devoir faire face aux mêmes démons. Un véritable parcours émotionnel l’attend, et elle le connaît par cœur.

On la voit ainsi, tantôt apprécier cette solitude et cette quiétude, tantôt détester exactement la même chose. On la suit dans ses états d’âmes, ses pensées, ses angoisses, ses idées, ses projections, ses souvenirs, ses regrets. Un aperçu des jours de Julie est ainsi dévoilé, tant d’un côté personnel que professionnel. On la découvre ainsi, la fatigue se faisant de plus en plus grande, étant de plus en plus à vif. Elle nous raconte les éléments clés de sa vie, des événements qui la définissent, et les différentes stratégies qu’elle pourra mettre en place dans l’espoir infime de réussir à s’endormir.

Mais ce rythme de sommeil a des conséquences lourdes sur sa vie. Elle est donc face à ce constat qui s’impose à elle : Peut-elle agir sur ses insomnies ? Ou plutôt : Peut-elle agir sur sa vie ?