Une première version de « Je m’appelle Ismaël » jouée en 2016 racontait l’histoire d’Ismaël qui, au lendemain des attentats de Paris, est bouleversé par le climat ambiant et décide de s’inventer son propre monde pour ne pas vivre dans le réel. Il va alors se lancer dans un projet de création de film pour échapper à la vraie vie.

Dans cette nouvelle version, Ismaël est toujours le même personnage « déconnecté du réel ». La pièce commence par un court métrage dans lequel on voit Ismaël qui essaie de faire son film mais échoue par manque de moyens.  La pièce continue et on retrouve Ismaël en chair et en os, toujours plein d’idées en tête. Son imagination n’a pas de limite, c’est ainsi que des extraterrestres, Alain Melon, un psychiatre déjanté et Jésus en personne vont apparaître au fil de l’histoire. 

Cette pièce, sur un fond surréaliste, promet d’être une explosion de mots, de danses, de musiques, d’extravagance et de rêves.

- Flavy